Section "Vibrations de l'âme"

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La musicienne

Elle est seule avec son instrument
Dans une taverne au bout de la nuit
Elle joue encore cette mélodie
Qui me colle a la tête depuis des jours
Elle était si jolie cette musicienne
Si triste et si passionée a la fois
Elle ne vivait que pour sa musique

Lorsqu'elle apparaîssait chaque soir a la taverne
Mon coeur s'illuminait de mille feux
Ecoutez a nouveau ses douces mélodies
Qui me transportais dans un monde merveilleux
La nuit je rêvais d'elle en me souvenant de sa mélodie
J'attendais avec impatience son arrivée a la taverne
Elle rendait les gens heureux en étant si triste...

Un jour elle n'est plus venue
Mes souvenirs de sa musqiue
M'empéchait de l'oublier
Un jour je suis partis
En vadrouille sur les routes
Seul et triste, un peu perdu
Un jour je suis arrivé dans un village
La taverne était ouverte
J'ai ouvert la porte
La musicienne jouait seule
Je m'en suis approché
Elle ma sourit radieusement...

Ce poême ma été inspiré par Maydaylia à qui je rend Hommage pour sa musique magnifique qui nous rend tant heureux et qui nous fait tant rêver.

Strong poête comblé

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Profane Messages : 24 Date d'inscription : 24/09/2008

Perception

Les gens rient
Les gens boivent
Le monde s'amuse
Et si je ne m'abuse
Je ne puis chanté
Je ne puis dansé
Car tous les regards rivés
M'empêchent de jouer
Je ne puis m'exprimer
Car même la pauvreté
Ne m'attristera point plus
Que de voir un sourir disparut
Me forcant à souffrir
Préferant de loin mourir
Me forcant à sourir
Préferant de loin courir
Je ne puis ainsi m'enfuir
Pensais-je que de fuir
Mapporterais malheur
Mais que dire du bonheur
Sans parler du malheur
Si brisé quelque coeur
Ne peut apporter satisfaction
Que par une bonne action

Les gens rient
Les gens boivent
Le monde s'amuse
Et si je ne m'abuse
Je ne puis plus parler
Je ne puis plus respirer
Sans même murmurer
Sans même regarder
Personne ne sais qui je suis
Personne ne sais qui je fut
Personne na sais se que je fuis
Personne ne sais se que je sus

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Oui, crever à en perdre l'haleine...
Se faire tondre,
Supporter les silences,
Les trahisons.

Ecouter les rires gênés.

Pour...Rien.

Et s'en vouloir de ne pas assez sourire.

Le temps passe, je m'édente...
Ma passion n'a plus d'entrailles...

Les potes sont morts...Ceux qui me regardaient vivre...

Impression, ce soir ,d'être l'intrus...

Et donc,

Retourner dans son bureau.
Oui, crever à en perdre l'haleine...

Infiniment.

Feu Sacré

Infiniment...

Le firmament de ses sourires
Brillant, veillant illuminant
La rue de mes souvenirs

Dansant, chantant, chaleureux

Éternel!

Et dans ce ciel sous mon aile
Où conduisent chemins et mer
L'automne se dessine

Vif, intense, rouge

Amer!

Venin enduisant les âmes
fragiles, confuses dans leur espoir
Dénudées mais si profondes

Que dis-je! Crevassées de larmes
J'en frissonne, si pures
Leurs complaintes en mon coeur

Peut-être...
Peut-être ma plume survole-t-elle étrangère
Les mots sacrés, l'écho envoûtant

Je ne vois mais j'entends
Je ne sais pas mais je sens
Tous ces soupires, belle âme!

Soupire, oui
Volcan des ombres!
Tremble, vibre, souffle!

Que des feux naissent ensuite
Et brûlent de joie
Ardante flamme au fond de soi

Infiniment, éternellement
Comme la rue de mes souvenirs
Ou doucement vogue

La grandeur de cette âme osant être...
La beauté de l'amitié osant naître...

(La joueuse n'a plus le coeur à écrire mais... DS tenait à faire son possible pour une âme, elle! ^^)

Artiste de qualité Messages : 101 Date d'inscription : 07/06/2008

LA VIE

La vie…parfois triste souvent jolie
Jamais monotone dans sa fragilité
Il n’y a que notre approche qui la définie
Nous seuls pouvons alors en décider…

La vie… souvent injuste mais bien réelle
Elle se forge de nos humeurs à l’apprécier
Devenant plus souple à nos éveilles
Plus dure quand viens le temps d’être jugée…

La vie…Indomptable Indomptée
Nos perceptions en font ce qu’elle est
Nos déceptions nous la font regretter
Mais elle reste là fidèle et aux aguets…

La vie…quand on sait l’apprécier
Ouvre alors devant nous la luminosité,
D’un monde où Amour et Amitié
Prennent naissance même dans l’Adversité…

La vie…que pouvons-nous en tirer?
Seulement de vivre ce qui se doit
Surtout ne jamais cesser d’espérer
Et apprendre enfin, à s’aimer soi…

ESMERINE

Et puis soudain, au bout de la nuit...
Une lumière,
Deux...

Des vibrations étonnantes,
De la chaleur dans la voix

Et un calvaire qui s'arrête...
Etonnement,
En un souffle.

Un dernier râle.

Une renaissance...

Et puis soudain, au début de la Voie...
Une pensée douce,
Des centaines.

Pour ces âmes qui osent pleurer, car elles savent vivre.
Pour ces âmes qui peuvent rire...
Pour celles qui se rencontrent...

Et qui voient!

Béotien Messages : 6 Date d'inscription : 22/09/2008

Il pleuvait fort sur la grand-route
Ell' cheminait sans parapluie
J'en avais un, volé, sans doute
Le matin même à un ami
Courant alors à sa rescousse
Je lui propose un peu d'abri
En séchant l'eau de sa frimousse
D'un air très doux, ell' m'a dit " oui "

Un p'tit coin d'parapluie
Contre un coin d'paradis
Elle avait quelque chos' d'un ange
Un p'tit coin d'paradis
Contre un coin d'parapluie
Je n'perdais pas au chang', pardi

Chemin faisant, que ce fut tendre
D'ouïr à deux le chant joli
Que l'eau du ciel faisait entendre
Sur le toit de mon parapluie
J'aurais voulu, comme au déluge
Voir sans arrêt tomber la pluie
Pour la garder, sous mon refuge
Quarante jours, quarante nuits

Un p'tit coin d'parapluie
Contre un coin d'paradis
Elle avait quelque chos' d'un ange
Un p'tit coin d'paradis
Contre un coin d'parapluie
Je n'perdais pas au chang', pardi

Mais bêtement, même en orage
Les routes vont vers des pays
Bientôt le sien fit un barrage
A l'horizon de ma folie
Il a fallu qu'elle me quitte
Après m'avoir dit grand merci
Et je l'ai vue toute petite
Partir gaiement vers mon oubli

Un p'tit coin d'parapluie
Contre un coin d'paradis
Elle avait quelque chos' d'un ange
Un p'tit coin d'paradis
Contre un coin d'parapluie
Je n'perdais pas au chang', pardi

Amateur d'Art Messages : 84 Date d'inscription : 02/08/2008

Sourit...oh oui sourit
rit rit avec ton rire d'ane
sois heureux je t'en prie
meme si c'est un sourire de crane

Amour, De toi a moi
je te desire je te veux
Mais il semble bien que toi
tu te gausse de me voir malheureux

Mes douces, qui etiez tout pour moi
mes rires mes joies
mes secrets mes emois
avez desertées ma vie, et fait de moi

d'un desert sterile le roi

je reste seul avec mes chimeres
avec ces sourires de comedies
je ne vivais qu'avec le coeur

et dans son coin, le crane rit

Profane Messages : 24 Date d'inscription : 24/09/2008

Départ

Les jours sombres nous regarde
Et je vois tout le monde partir
Est-ce que je devrais fuir
Devant toutes cette débandade
Cette agitation générale
Puis-je un jour oublier
Cette si belle amitié
Cet attachement convivial
Lorsque vous repartirez
En quête d’une nouvelle vie
Tachez de ne pas oubliez
Que toujours je vous attendrai ici
Mais pourquoi partez-vous tous
Attendez-vous que moi aussi je me pousse
Aussi loin que je le pourrai
Mais jamais je ne le ferai
Car toujours en vous attendant
Certaines personnes m’accompagneront
Pour passer le temps
Et en bons compagnons
Remonteront le moral que j’ai perdu
Et après vous avoir attendu
J’espère vous voir enfin revenir
Le cœur en paix et prêt à sourire

Béotien Messages : 7 Date d'inscription : 12/09/2008

Dans l’air atone
L’oiseau suspend son vol
Avant de plonger
Dans l’écume des prés

Le ciel étonné
S’étale sur l’horizon
En intransigeantes douceurs
Et rejoint à travers champs
La molle chevauchée des sillons
Sur le ventre luisant
De la terre grasse
Fraîchement retournée
Et abandonnée
Nue comme un ver

Dans cette attente
Sans cesse renouvelée
Qu’on croirait prête
Pour une éternité
Les branches s’accrochent
Aux doigts du vent
Et les feuilles s’affolent
Au moindre frisson

Ces signes ne trompent pas
L’automne vient d’arriver.

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Profane Messages : 24 Date d'inscription : 24/09/2008

Rêveries

Une chose est sur, je l’aime encore
Mais mon cœur me dit autre chose
Il me dit de retrouver ma liberté
Au lieu de regarder chaque soir dehors
Attendant cette si belle rose
Qu’il disait tant vouloir m’apporter
Mon cœur rêve de liberté
Se relâcher chaque soir en rêvant au lendemain
S’abstenant toujours d’aimé
Regardant tout les soir son chemin
Celui certes du bonheur
Voyant couler toutes ces heures
Que de plaisir, que de folie
Me laissant aller à mes rêveries
Peut-être un jour vivrais-je cette vie
Mais sans mentir, pensons-y
Cela m’est malheureusement impossible
Car toute vie à un but certains
Et pour pouvoir atteindre cette cible
Nous devons suivre le droit chemin
Et se plier aux normes de vie
Et trouver l’amour aussi
Sans attendre pour en pas mourir seul
Et sans comprendre pourquoi ne pas être seul
La solitude étant la dernière chose voulue
Mais dans certains cas la seule chose vécu

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Profane Messages : 24 Date d'inscription : 24/09/2008

Triste fin

Cette petite larme qui coule
Sur mon visage attristé
Ces larmes qui me saoule
Et ainsi m’empêche de penser
Voulant voir clair dans mes larmes
Ayant peur de sortir les armes
Comment te faire comprendre
Que je ne veux plus rien entendre
Arrache-moi le cœur il est mieux
Car jamais je ne pourrais voir de mes yeux
Un cœur brisé à nouveau
Mourir pour un amour sot
Quel triste destin que celui-là
Mais la vie est ainsi et voilà !

. . .

Profane Messages : 24 Date d'inscription : 24/09/2008

Mortalité

N'avez-vous point de coeur
Abattre quelqu'un de cette façon
Lui infligeant cette intense douleur
Certes, ce n'est que mon opinion
Mais jamais je ne pourrai pardonner
Un être d'une si maigre pensée
Un tel plaisir a-t-il prit
À si froidement enlevé cette vie
Un acte si plein de vengeance
Vengeance personnelle à grand prix
Certes oui, celle d'une vie
Quand j'y pense, une telle insouciance
Cette indifférence commune en cette journée
Personne pour riposter
Nul être pour s'imposer
N'avez-vous donc pas pensé
Qu'une voix ne puis être d'aucune utilité
Si c'est le cas je vous blame
Personne pour lui dire adieu
Car si une seule voix ce serait élevée
Nous aurions vu partir en paix cette âme

J'ai un jour rencontré un amant de Dieu
Qui m'a dit d'une voix délicate
Me retenant pour que je ne parte
'' Qui êtes-vous à vouloir tuer à tout prix?
N'êtes-vous point capable d'aimer?
Dieu est seul pouvant donner la vie
Et de surcroix le seul à pouvoir l'enlever ''

Cet écrit est un hommage à notre ami Moustiiko (Dieu aie son âme), abattu froidement par un être sans-coeur...

. . .

Profane Messages : 24 Date d'inscription : 24/09/2008

Bien entourée...

Tous sont là autour d'elle
Lui parlant, l'encourageant à bien faire
Croyant d'elle tout le contraire d'une rebelle
Peut-être devrait-elle se taire
Ne pas évoqué cette souffrance
Et rester dans cette profonde transe

À vouloir répendre la joie
On en oubli qui on est vraiment
Toujours nous serons seul, sincerement
Même bien entouré il n'y à que soi
Les autres ne sont que décor à la vie
Au moins il restera l'oubli
Pour nier toutes mauvaises aventures
Ou certes quelconque rupture

On se réjoui de sa présence
Sans se demander ce qu'elle en pense
La prennant pour simple objet de plaisir
Pour simplement tous les divertir

. . .

Profane Messages : 24 Date d'inscription : 24/09/2008

Relation

Que vous êtes idiots
Ne vous rendez-vous pas compte
Sombres imbéciles
Vous n’êtes d’aucun repos
N’avez-vous pas honte
Cela est inutile
Autant d’homme pour une femme
Mais n’en faite pas un drame
N’utilisé jamais la lame
Pour conquérir d’une femme
Car son coeur est bien trop fragile
Il faut le laisser tranquille
Faite lui tranquillement la court
Et même peut-être parlez d'amour
Les autres hommes ne sont pas vos rivaux
Mais plutôt vos égaux
Comme je vous trouves idiots
D'aborder ces propos
D'un homme vous rivalisant
Et ainsi en le dégradant
Espérez gagner le coeur d'une dame
Mais ainsi ne comprennez-vous rien aux femmes
Me trompais-je dites-le moi
En disant avec fierté ma foi
'' Des hommes le plus respectable
Est celui qui de même respecte ses semblables ''

. . .

Profane Messages : 24 Date d'inscription : 24/09/2008

Séparation

La joir m'a quitter depuis hier
Lorsque je bus cette dernière bière
Lorsque tu partis pour rejoindre tes songes
Mais lorsque tu pars, moi je me ronge
L'inquiettude me gagne à savoir
Si avec tous mes espoirs
Je te reverais bientôt
Car mon coeur la distance ne peu supporter
Et même le temps ne peu attenuer
L'envie d'être dans tes bras aussitôt

Je te voit me quitter lentement
Et mon coeur se déchirer silencieusement
Mais le soleil se lève encore
Et tout en regardant le Nord
J'appercoit une étoile me signalant
Que jamais une histoire ne peu finir
Tant que les personnages ne cesse de souffrir
Et que l'amour revienne finalement

. . .

Profane Messages : 24 Date d'inscription : 24/09/2008

Astres

Regardant les étoiles
Formant une toile
Quelle est l'araignée
Qui finement a tissée
Cette oeuvre de grand talent
Avec lkes dieux rivalisant
Éclatante lumière
Point de repère
En deça de réalité
Courtisante rivalité
Avec le vide contrastant
Avec un rien rivalisant
Mon regard se perdant
Dans cette vaste étendu
Peut-être dans cents ans
Me retrouvera-t-on pendu
Dans ma torpeur et mes espoirs
Attendant avec honte la mort
Esperant dans le noir
Rapidement quitter mon corps
Pour pouvoir toucher une étoile
Même si cela m'est fatal
Écoutez-moi maintenant avec respect
Pouvez-vous dire que j'ai tord
'' La souffrance est la paye de la mort
Pour pouvoir reposer en paix ''

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