Section "Vibrations de l'âme"

Qu'est la Solitude ?

La solitude est le début d'une nouvelle ère, c'est un autre moyen pour penser aux choses.
Des fois, il est bon d'être seul pour éviter un problème et pour penser aux choses les plus belles.
Surtout celles, que nous avons fait dans notre vie.....

La fin d'un amour :

Si c'était la fin du chemin et il y aurait un bateau pour ne plus vivre,
Je voudrais aller dans ce bateau pour ne plus rêver que tu es mien,
Je voudrais aller dans ce bateau et oublier le passé et ne plus te suivre ,
Je voudrais être dans ce bateau et ne plus tomber dans l'amour, un si périlleux ravin...

Je ne pensait pas que cette amour viendrait, je ne l'ai pas vu s'approcher.
Mais tout à coup tu m'as embrassé, ou je t'ai embrassé, ou nous nous sommes embrassé.
Tout de suite tu m'as dit "je t'aime", tu m'as donné ta main et tu regardais par la fenêtre sans vouloir t'en aller.

Et maintenant qu'à peine un mois est passé,
Je semble parler Chinois, et toi en Gaulois.
Déjà tout n'est que discution et il n'y a plus de "je t'aime" Parce que rien ne vas et tout est passé.

Invité

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Profane Messages : 24 Date d'inscription : 24/09/2008

Heureuse vie

Mener une vie compliquée
Sans avoir nul temps pour aimé
Tel est ma destiné
Décevoir tout ceux qui m’entour
Je ne puis ainsi continuer
D’attendre la mort à mon tour
Maudit soit celui qui un jour à dit
‘’Nous ne naissons que pour mourir
Alors à quoi cela nous sert de vivre’’
Je lui hurle fièrement ‘’soit maudit’’
Ou ceux qui blâme la vie pour quelques malheurs
Alors je vous en prie, faite moi l’honneur
De les battre jusqu’à ce qu’ils comprennent
Que s’ils veulent du bonheur, qu’ils en sèment
Et qu’ils cessent de tout blâmer
Car personne au monde ne puis endurer
Un être qui sans cesse se plaint
Et qui affirme que c’est l’amour qu’il craint
Car la vie nous offre de si beau cadeau
Il ne s’agit que de savoir les apprécier
Et le matin, se lever tôt
Pour appercevoir le soleil se lever
Pouvoir admirer ce spectacle fabuleux
Et ensuite lever les yeux
Admirer la couleur des cieux
Et fièrement annoncer ‘’ Je suis heureux ! ‘’

. . .

Profane Messages : 24 Date d'inscription : 24/09/2008

Triste monde

Je fis tout pour répandre le bonheur
Mais toujours la haine subsiste en leurs cœurs
N’ayant plus nul espoir pour continuer
Je du me résoudre à abandonner

Les hommes ardûment observent les cieux
Attendant une quelconque réponse de Dieu
L’enfer lui n’a de cesse de les fixer
Avec vive ardeur, eux et leurs péchés

Lucifer prendra-t-il pouvoir un jour
Et régnera-t-il aussi à son tour
Pour emplir de haine les hommes et leur cœurs
Propageant dans tous comptés le malheur

Pouvons-nous fuir la dite vérité
D’un monde sans cesse se dégradant
Pouvons-nous affronté cette vérité
D’une vit appartenant aux combattants

. . .

Profane Messages : 24 Date d'inscription : 24/09/2008

Il fut…

Il fut un temps où tout allait bien
Où nos amis nous croisaient sur les chemins
Mais ce temps à ce jour est révolu
La haine a envahi nos rues
L’amour ne trouve plus sa place
Dans nos cœur et nos vies
Les cœurs sont devenus de glace
Et les âmes se sont assombries

Il fut un monde ou tous étaient heureux
Où l’avenir appartenait au amoureux
Mais ce monde à ce jour est décédé
La corruption nous a tous dominé
À ce jour nous voyons la vie en noir
Nous en sommes plus capable de pardonner
Et les jours sombres nous empêchent de croire
Que ce monde un jour pourra ressuscité

Il fut un jour ou un homme est arrivé
Où celui-ci à Marseille fit son entré
Mais rapidement fut déçu et reparti
Quelqu’un l’ayant grandement affaibli
Ces habitants sont devenus froids
Ils n’ont plus aucune raison d’aimer
Ont tout simplement oublier d’être courtois
Et ainsi contribue à la mort de leur comté

. . .

Invité

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Invité

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Profane Messages : 24 Date d'inscription : 24/09/2008

Amertume

Je regarde autour de moi
Observant avec émoi
Les gens vivre et se plaindrent
De leur vie bien trop amère
Laissez-moi etre sincere
Je ne puis vous laissez findre
Une amertume de la sorte
Vous moquer de la misère
Croire que les pauvres s’en sortent
Et croirent leur vie prospère

Jamais je ne vous laisserai
Quiconque vous soyez
Vous penser plus important
Et qu’au bout d’un certain temps
Quelqu’un pensera à vous
Ira vite vous relever
Et de même vous vénérer

Regardez autour de vous
Dites moi ensuite sans rire
Et bien sur, sans plus mentir
Le monde tourne autour de vous
Et jamais il ne cessera
Car, de ce monde, vous êtes Roi

. . .

Profane Messages : 24 Date d'inscription : 24/09/2008

Histoire d’amour, histoire de mort

Pourquoi est-ce si difficile d’aimer
Pourquoi se détester
Quel est cette manie de tout vouloir contrôler
De vos histoires, je cesse de me mêler
De ce fait, cesse de vous écouter
Gâcher vos vies si vous le désirez
Plus jamais je ne vous dirai
Cessez de vous inquiéter
Arrêter d’y penser
Il ne faut plus y songer

Sincèrement dites-moi
Si je me trompe quand je crois
Que cette histoire est n’importe quoi
Que vous devriez oublier tout ça
Ne vous apercevez-vous pas
Que vous jouer vie et foi
Dans cette histoire et, de surcroît
Autour de vous répandez le désarroi

Rendez-vous en compte
Avant de vous faire honte
Si cela vous confronte
Si c’est la vérité qui vous affronte
N’en ayez pas honte
Et venez, que je vous raconte

L’histoire d’une vie mal achevée
Un homme cherchant à être aimé
Et sans cesse, de répéter
‘’Sans toi, je mourrai ‘’
Un homme qui semblait attristé
Par un refus prononcé
Et qui, sans y songé
Mit fin à sa vie de courte durée
La dame qui avait brusquement refusé
Se sentit coupable et désolé
Mais sans plus l’aimé
S’empressa de l’imiter

. . .

Artiste de qualité Messages : 101 Date d'inscription : 07/06/2008

Chemin sinueux

La route est longue pour quiconque cherche la vérité
La voie est profonde quand vient le temps d’y accéder
Noire est le chemin qui se dessine devant nos yeux
L’espoir laisse place à la décrépitude des bienheureux…

Je suis lasse me direz-vous? Lasse de cette lassitude
Je m’enlace d’une attitude, celle de la lourde solitude
Solitaire dans un monde de plus en plus nombreux
Solidaire en trombe dans l’océan des malheureux…

Nous recherchons tous l’absolue perfection des Dieux
Existons-nous pour la quête d’un monde plus heureux
Ou subsistons-nous sous le joug d’une utopie fastidieuse
Aimons-nous à ce point voiler nos yeux d’idées vaporeuses…

Aujourd’hui, j’emprunte le chemin le moins fréquenté
Celui du miroir de mon âme habituellement bien caché
Je déambule abasourdie de tant de souffrances non dites
Préambule d’une ancienne route condamnée et maudite…

Faire face a ses démons, est un combat de tous les dangers
L’interface de deux entités qui s’affrontent pour subsister
Parsemant des stigmates indélébiles, souvenirs si bien refoulés
Une partie de soi à jamais perdue une autre reste à trouver…

La route est longue pour quiconque cherche sa vérité
La voie est profonde quand vient le temps d’y accéder
Noire est le chemin qui se dessine devant mes yeux
Mais jamais l’espoir ne cèdera place aux passé envieux…

Esmerine

Foi!

Comme le temps qui s’inverse
Le vent qui fane
Ces jours qui s’épuisent
L’ombre en marge

Comme un temps en averse
L’espoir un peu profane
Sur le palier de l’église
La prière en sauvetage

Comme ce temps qui se disperse
La nature en torrent
Le fond du cœur c’est chez soi
La clé sur la flotte, l’âme grise

Comme ces temps anciens qui bouleversent
Les plumes honorant
L’avenir en lequel on croyait, pantois
Cette époque où éprise….

L’amour appelait le présent :
Le temps!!

Profane Messages : 24 Date d'inscription : 24/09/2008

Un rêve

Je rêve d’un monde magique
D’un endroit magnifique
Où pleurer est considéré
Comme un acte de vérité
Une ouverture d’âme
Non réservé aux femmes
Car là bas même les hommes
Savent qui nous sommes
Des êtres égaux emplis d’honneur
Cherchant à bien le bonheur
Évitant à tout prix le malheur
Et de même, toute rancœur

Je rêve d’un monde magique
D’une contré fantastique
Où les larmes se changent en sourires
Et où on entend tout autour
Les enfants jouer et sourire
Répandant la joie avec amour

Je rêve de ce jour où la vie sera belle
Où nous contemplerons les vols d’hirondelles
Où nous ne nous soucierons plus de demain
Mais de ce jour, je rêve en vain
Je ne souhaite pas un monde parfait
Seulement un où vivre en paix

. . .

J’ use et abuse de l’anneau ivre
Quintessence d’une fièvre lancinante.

Vous êtes tu ?
Nous tairons l’écarlate de nos joues.

Tu oses le vous ?
Nous fuirons les Vapeurs de nos rires.

Les Voûtes de la Folie s’installent dans notre « Je »

Nous ?

Admin Messages : 41 Date d'inscription : 28/02/2008 Age : 43

L’infidèle

Mon bien-aimé
Je te suis désavouée.
J’étais blessée par les épines
De ta beauté assassine.

Le mal, ses sévices
Eperdue de tous ses vices,
J’acceptais une invitation désapprouvée.

Le temps d’un sourire justicier
Je pris un détour injustifié.
Au cœur de novembre
Raisonnait ta sincérité féline,
Bienséante et mesquine,
Colorée d'une pluie d' ambre.

D’une tristesse annoncée
Au désir révoqué,
Le plaisir était dissimulé.

Cette illustre renaissance
Dotée d’une impossible alchimie
Fit naître une abjecte reconnaissance
Alliée à une envoûtante harmonie.

Affligée d’une humeur vagabonde
Ton courage avait une entente nauséabonde.
En parlant à Dieu
Je fermais les yeux
Sur un incompréhensible verdict
Avant qu’à nouveau on me dicte
Le sentiment enfoui
D’un destin accompli.

Artiste de qualité Messages : 101 Date d'inscription : 07/06/2008

AUCUNS REGRETS

J’ai un jour croisé le regard hypnotique d’un Ange de Passion
Il a su me montrer le chaud visage de l’Amour incendiaire
Celui qui vous brule l’intérieur, laissant cendres de déraisons
Sur un cœur qui avait jusque là fait entendre des battements précaires…

Le destin jouant sans cesse avec nos vies, à trouvé encore à redire
Sans doute le bonheur de longue durée m’est à jamais proscrit
Car quand je le touche du bout des doigts, celui-ci tant à me fuir
Sombre alors mon âme dans le silence avant de se figer dans l’Utopie…

Puisque je t’aime, puisque tu m’aimes, je te laisse partir sans regrets
Une page du livre de ma vie se terminant sur un chapitre inachevé
Même de courte durée, un sentiment si intense ne s’oublie jamais
Ton nom au plus profond de mon cœur, éternellement y sera gravé…

Vole! Vole sans te retourner toi mon Ami, mon Amour de Sincérité
Je sais que là où tu es, une partie de moi accompagne tes souvenirs
Comme un baiser tendre qui s’échange entre deux caresses volées
Que de cette douce image, pointe sur nos visages l’esquisse d’un sourire…

ESMERINE

Amateur d'Art Messages : 66 Date d'inscription : 25/09/2008

Mon petit Ange

La vie semblait tellement si merveilleuse
Mais d’un seul coup, apparut bien ténébreuse
Tout s’écroula alors si vite, plus rien n’avait plus d’importance
Ne laissant place qu’à la tristesse et beaucoup de souffrance.

Difficile de pouvoir être compris dans de pareils moments
Il est si facile de pouvoir en rire vraiment si aisément
C’est là que surgit l’aide des proches et des amis sincères
Ils vous soutiennent et tout devient ainsi beaucoup moins austère.

Mais toi seule m’as vraiment redonné le sourire
Et patiemment ma fait réapprendre à vivre.
Tu es devenue pour moi mon bien le plus précieux
Apparaissant devant moi comme un ange venu des cieux.

Ni la fuite, ni la mort, n’aura plus d’emprise sur moi
Tant que j’aurai, mon amour, un avenir avec toi
Alors dans la pierre, notre histoire je graverai
Pour que personne ne puisse, plus jamais l’oublier.

Tu sais que dès le jour où tu as avoué m’aimer
Ma vie, depuis, tu as commencé à transformer
Auprès de toi, maintenant plus rien ne me fera peur
Car tu es depuis ce moment encré au plus profond de mon cœur.

Avec toi, mon ange, j’ai retrouvé le bonheur
Tu m’as compris en m’apportant tant de douceur
Puis tu as réussit à sortir cette souffrance de ma vie,
Et maintenant à tes côtés, mon existence, tous les jours tu embellis . . .

Section "Vibrations de l'âme" - Page 6 Fred2mg1

Pour toi Perperine, mon Ange, avec tout l'Amour que je ressens pour toi.

Mon amant

Je t'ai rencontré à l'orée d'un bois
Un soir où la lune était pleine
Alors que j'avais le cœur en émoi
Tu m'as lancé un regard fait de haine

On ne s'était jamais vus auparavant
Mais je savais ce que le destin nous réservait
Tu m'as poursuivie pendant un moment
Et à chaque fois je t'échappais

Puis en un instant tu as disparu
J'ai alors cru que tu étais vaincu
Mais on n'arrête pas un démon
Avant qu'il ne puisse user de son poison

Au cours d'une soirée je t'ai recroisé
Et de ton charme tu m'as piégée
Ce que je croyais être de la haine
N'était que de l'envie humaine

Le démon que je fuyais
S'est révélé un homme capable d'aimer
Tu m'as ensorcelée par ton regard dévastateur
Tu n'as eu de cesse de soumettre mon cœur

A présent nous sommes de jeunes amants
Qui croquent la vie à pleines dents
Toi qui ne vois en moi que perfection
Sache que devant toi je suis en admiration

Dans la spirale de mes sentiments
Je te suis entièrement dévouée
Tu as emprisonné mon cœur jalousement
Mais je vis en toute liberté à tes côtés

Tu as enchaîné nos deux destinées
Partout, tu as gravé notre avenir
Toi, l'être à qui je suis à jamais liée
Je l'avoue, je t'aime à en mourir.

Mon amant secret

Tu resteras, mon amant secret,
Tu resteras, la goutte de vie qu'il fallait à mon corps,
Tu resteras pour moi un précieux et doux souvenir,
Tu resteras mon amour caché, l'objet de tous mes désirs.

Je l'écrirais en vers libres ce qu'il me reste de toi,
Quelques photos jaunies, où tu apparais, là.
Qu'ils étaient doux, nos rendez vous à la sauvette.
Ceux qui pendant quelques "5 à 7" laissaient nos cœurs en miettes.

Mon corps ne voulait que toi, mon âme ne pensait qu'à toi.
Peut être que si tu lis cela, tu te reconnaîtras,
Connivence d'instants clandestins, insoupçonnable refrain.
On se retrouve, où? Là ?, ici ?, pas là ? Tu crois ? C’est certain.

Amour clandestin qui avait le piquant d'un amour caché,
D'un amour avoué mais non déclaré.
Une divergence avec ta vie, ma vie et leurs vies.
Mais te revoir un jour qu'est ce que j'en aurais envie.

Pour toi, je n'étais pas moi, pas sa femme, j'étais ton être,
Ta possession, même si on n'était pas passé devant monsieur le Maire.
On peut appeler ça passion, cet amour su par certains.
Cachés par ces gens que le destin avait mis sur notre chemin.

Personne n'a rien su, personne n'a fait semblant si ca c'est su.
On a été heureux, on n'a rendu personne malheureux.
On a rien détruit, on a vécu de belles, même des nuits.
Quand on se serrait et se parlait pour rester éveiller.

Tu resteras mon rêve secret,
Tu resteras, un de mes plus beaux amours.
Tu resteras, quelque chose en moi de très doux,
Il restera, l'amour qu'on éprouve loin de nos quatre bras.

Tu as trop de doutes,
Pour savoir la vérité.
Trop d'incertitudes,
Pour avoir la sincérité.
Beaucoup trop de doutes,
Sur l'amour que je te portes.
Trop de contingence,
Pour avoir confiance.
Je sais que tu m'aimes,
Mais j'ai trop d'incertitudes,
Pour savoir l'exactitude.
Tu sais que ces doutes,
Nous ont détruit on compte gouttes.
Voilà : je ne cèderai pas à tes caprices,
Je suis insignifiante et lisse,
Ces moments-là sont un supplice,
Il faut vraiment qu'on en finisse !

Profane Messages : 24 Date d'inscription : 24/09/2008

Il n’en tient qu’à vous...

Pourquoi tant de haine
Cette jalousie malsaine
Qui fait de vous d’infâmes
De répugnantes bêtes
Qui font fuirent les femmes
Et cette affreuse jalousie
Qui vous monte à la tête
Qui mène votre vie
Choisis à votre place
Celle qui vous rend fou
Et vous transforme de glace
Il n’en tient qu’à vous
De tout oublier
De tout pardonner
De savoir juger
De savoir parler

Il n’en tient qu’à vous
Noble et vagabonds
Gueux et paysans
Regardez-vous
Victime de simples noms
Classe sociale classifiant
Une personne riche
Une autre d’aucune importance
Tout cela sans évoquer
Celle qui triche
Et l’autre qui danse
Les hommes pleins de fierté
Près à se manifesté
Mais restreints par la loi
D’un monde ordonné
Peu importe ce qu’ils croient
Jamais ils ne seront écoutés
Par simple complexité
Par complexe simplicité
Tout ceci pour évoquer
Qu’il ne tient qu’à vous
De tout oublier
De tout pardonner
De savoir juger
De savoir parler

. . .

Profane Messages : 24 Date d'inscription : 24/09/2008

Mon ange

Un ange est tombé du ciel
Et tout de suite il m’a regardé
M’a promis de m’aimer
M’a dit s’appeler Uriel

Je ne pu le croire
Et lui tourna le dos
Je ne pu plus le voir
Et changea de propos

Il rigola et me retourna
Il sourira et m’embrassa
Sous le charme et surprise
Je sentis une chaude brise

Mon cœur explosa et s’ouvrit
Une émotion jamais ressentit
Il s’éloigna en me souriant
Il rigola en me disant

Mon nom n’est pas Uriel
Et je ne suis pas un ange
Je ne suis pas tombé du ciel
Mais je t’aime et c’est toi mon ange

Le son de ta voix
Ta façon de marcher
Tout en toi
Me laisse rêver

Je t’aime d’un amour
Aussi indescriptible qu'il est
Ne pourrait être plus vrai
Et de même subsistera toujours

. . .

Ce poème vient de ma principale inspiration, mon amour, mon Strong ....

Il y a peu de temps un regard s'est échangé,
Nous nous sommes souris puis, tu m'as dit que tu m'aimais
J'étais heureuse même si tes paroles me surprenaient
Enfin nous nous sommes embrassées, nous étions enlacés,
Cet instant reste dans mes pensées.

Mon amour pour toi est si fort,
Que chaque minute, chaque seconde tu es là au plus profond de mon corps,
Même si tu es loin de moi ton image reste encore,
Et la distance n'éloignera pas cette passion qui nous dévore.

C'est dur,tu me manques tellement
J'ai chaque jour hâte d'être avec toi mon amant
Qu'ensemble on vive de bons moments,
Que tu me serres dans tes bras tendrement...

Aujourd'hui je te demande timidement,
De concrétiser nos liens avec un enfant.
Ton enfant, mon enfant, notre enfant.

Je t'aime mon amour...

A tous les Amoureux

Ah !! tous les amoureux, aux belles envies
Nous avons une chose, dans notre vie
Qui ne sait ce qu'est : l'amour ?
Quelle chance d'être avec son aimé, tous les jours.
Constamment le voir, le toucher, l'embrasser,
Avec toujours autant de sentiments. C'est cela aimer !!!

Les amoureux vivent à deux.
Ils se promènent main dans la main,
Tout en pensant au lendemain,
Sans être un jour malheureux.
Seulement ils ne se rendent pas compte
Du bonheur qui emplit le cœur.
Et se plaignent, avec une certaine honte,
D'être accablés de malheurs.

Mais heureusement, ils ne sont pas tous comme cela.
Certains sont heureux d'aimer et d'être aimé,
Par l'être cher, et ne se plaignent pas.
Même s'ils savent que ce n'est pas toujours pour l'éternité.

Comme eux je vie un bel amour rempli d'émoi
Et je penserai à ceux qui étaient comme moi,
Qui imaginaient que l'amour n'était qu'un chevalier vaincu
En guidant leurs pas vers un amour déchu.
Mon amour je l'ai enfin trouvé,
Et c'est au fond de mon cœur et de mes pensées,
Que je compte précieusement le garder.

Amateur d'Art Messages : 84 Date d'inscription : 02/08/2008

HRP--parce qu'il faut profiter de ce que la nature nous offre au quotidien, Carpe diem !--HRP

Les passantes

Je veux dédier ce poème
A toutes les femmes qu'on aime
Pendant quelques instants secrets
A celles qu'on connaît à peine
Qu'un destin différent entraîne
Et qu'on ne retrouve jamais

A celle qu'on voit apparaître
Une seconde à sa fenêtre
Et qui, preste, s'évanouit
Mais dont la svelte silhouette
Est si gracieuse et fluette
Qu'on en demeure épanoui

A la compagne de voyage
Dont les yeux, charmant paysage
Font paraître court le chemin
Qu'on est seul, peut-être, à comprendre
Et qu'on laisse pourtant descendre
Sans avoir effleuré sa main

A la fine et souple valseuse
Qui vous sembla triste et nerveuse
Par une nuit de carnaval
Qui voulut rester inconnue
Et qui n'est jamais revenue
Tournoyer dans un autre bal

A celles qui sont déjà prises
Et qui, vivant des heures grises
Près d'un être trop différent
Vous ont, inutile folie,
Laissé voir la mélancolie
D'un avenir désespérant

A ces timides amoureuses
Qui restèrent silencieuses
Et portent encor votre deuil
A celles qui s'en sont allées
Loin de vous, tristes esseulées
Victimes d'un stupide orgueil.

Chères images aperçues
Espérances d'un jour déçues
Vous serez dans l'oubli demain
Pour peu que le bonheur survienne
Il est rare qu'on se souvienne
Des épisodes du chemin

Mais si l'on a manqué sa vie
On songe avec un peu d'envie
A tous ces bonheurs entrevus
Aux baisers qu'on n'osa pas prendre
Aux coeurs qui doivent vous attendre
Aux yeux qu'on n'a jamais revus

Alors, aux soirs de lassitude
Tout en peuplant sa solitude
Des fantômes du souvenir
On pleure les lèvres absentes
De toutes ces belles passantes
Que l'on n'a pas su retenir

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