Section "Vibrations de l'âme"

Artiste de qualité Messages : 102 Date d'inscription : 17/02/2008

thod a écrit:: Mers impétueuse,
Onde suave,
Naviguant sur les flots.

Poissons et pécheur
Loin des cotes embrumées
Ulysse tu nous guidé
Sur la route de l'immensité

Blanc, bleu ou noir,
Erigé vers le tumulteux lointain
A la poupe je me place
Unifié des Neptunes

Barque ou radeau,
A l'ancre ou chaviré
Terrifiant ou attirant
Eventé ou à quai
Aurore ou Crépuscule
Unique ou banale

Artiste de qualité Messages : 102 Date d'inscription : 17/02/2008

verpom a écrit:: Se laissant glisser au gré du vent,
Ma barque me montre des paysages impressionnants:
De la mer turquoise au ciel azur
En passant par le vert des forêts peu sures.
Elle brave tempêtes et grands syphons,
Sa petite coque tenant toujours bon,
Depuis des années nous voyageons,
Pour ramener des tonnes de poisson.
Je scrute encore et encore
A la recherche d'un grand trésor
Perdu au fin fond des mers
Il me procurerait une richesse extraordinaire!

Verpom.

Artiste de qualité Messages : 102 Date d'inscription : 17/02/2008

Dame Myrïan a écrit:: Plus qu'un navire, un rêve
Plus qu'un bâteau, un espoir
Alors qu'elle y pense sans trêve
Elle cesse parfois d'y croire.

Bien que rien ne la retienne ici,
Elle ne se résigne pas
A larguer les amarres.
Mais sait que tôt ou tard,
Qu'elle le veuille ou pas,
Un esquif viendra, contraignant ses envies.

Petit, simple, mais solide
Avec juste un nom, peint sur son flanc
Suffisamment rapide
Pour poursuivre son élan

"Liberté" en lettres blanches
Celà fait peur, elle flanche!
Mais tellement attirant
Qu'elle part droit, en ramant

Béotien Messages : 7 Date d'inscription : 22/06/2008

Flamme rentra dans la section un peu gênée ne voulant lire de poème devant tant de monde il déposa le poème devant l’entrer de la section et partie.
Sur le poème il est écrit.
Courage
Sèche tes larmes,
Ne reprends pas cette lame,
Tu n'es pas seule,
Des personnes de ton cœur ont franchit le seuil,
Ils sont là pour toi,
Je suis là pour toi,
Nous sommes prêt à beaucoup de choses pour toi,
Ne nous oublient pas,
Je m'inquiète pour toi,
Je ne suis pas le seul dans ce cas,
Tu comptes énormément pour moi,
Si ça ne va pas je t'en supplie dis-le-moi,
Car quand tu ne vas pas bien,
Moi non plus ça ne va pas bien,
Je n'imagine pas ma vie sans toi,
Car maintenant tu es une partie de moi.

Bien plus tard il se dit que la timidité est un grand défaut pour un poète et qu’il devrai combattre se défaut….un jour.

Béotien Messages : 7 Date d'inscription : 22/06/2008

Flamme Déposa le poème a l’entrer de la section mais pensa a laisser a la fin du poème le nom de son amour.

Personne ne te remplacera…
Dans mon cœur toujours tu seras…
Je ne passe aucune journée
Sans que tu sois dans mes pensées…
Je n’aime que toi,
J’ai besoin de toi…
Personne ne peut m’apporter
Ce que tu as su me donner…
Plus que tu ne crois,
Mon amour n’est désormais que pour toi…
Pour toi mon amour Esmerine

Sourit avant de partir et se dit qu’il repasserai bientôt

Artiste de qualité Messages : 101 Date d'inscription : 07/06/2008

Esmerine est entré et à déchiré ses poèmes... vous ne verrez plus rien d'elle ici....
De tes mots, tu
Me forçant à
L’amour ex
Il se veut m
Sous ma cara
Se cache une pe
Que seul en preux
Arrive à dé
Ton cœur pa
Promesses de
Ton corps contre
Doux frissons d’

Point de paro
Pour émouvoir
Juste quelques
La voilà a

De tes mots
Ton coeur est mon
De ton souffle
Mon amour ind

Esmerine

Béotien Messages : 7 Date d'inscription : 22/06/2008

Sir_flamme arriva heureux car ce poème étais pour lui le plus beau qu'il est fais il se mit devant la section et heureux de son poème oublia sa timidité et commenca a le lire

Un jour j'ai découvert que ta beauté n'avait pas de pareil,
Tes yeux par leur éclat éblouirent les miens,
La douceur de ta voix enchanta mes oreilles,
Les noeuds de tes cheveux devinrent mes liens.
Je ne m'arrêtais pas à ces beautés sensibles,
Je découvris en toi de plus rares trésors,
J'admirai aussi les beautés invisibles,
Qui rendent ton esprit aussi beau que ton corps.

Ainsi je fis d'aimer l'heureux apprentissage,
Une sensation dont j'aime la douceur.
J'ai toujours dans l'esprit tes yeux et ton visage,
J'ai toujours ton image au milieu de mon coeur.
Depuis que tes yeux allumèrent ma flamme,
Je respire bien moins en moi-même qu'en toi,
L'amour semble avoir pris la place de mon âme,
Et la vie ne serait plus la même s'il n'était plus en moi.

je remercie mon soleil de m'inspirer c'est grace a mon amour que je fais de si beau poème

Béotien Messages : 6 Date d'inscription : 20/02/2008

Una spina in tallone,
Che conservo per custodire la dolore.

Bella, parla di te ?
Io, ho più d'uno cuore :
Uno cuore d'assino
E de leone un'altro.

Io, mai dimentico
Che t'ho avuto amare.
Te ho avuto amare a ne morire,
Mai l'ho dimentico.

Amare a ne crepare.
Amare o, si : desiderare.
Desiderare a ne crepare,
Desiderare a crepare di te.

Oh, bella Dona !
Ohimè, perchè io !
Perchè sono uno màschio !
Vero, qu'è in la carne mia.

Ma, per Aristote e Christo' !
Amo la signorina
Che di me se fida.
No amo d'altro ch'ella, nessuno.

E amo la questa signorina.
Amo a crepare d'ella.

___________________________________

L'infini entre ciel et mer...
Mon paradis et mon enfer.
Là où Beausoleil se lève
Mélancolie ne connait de trève.

Ses falaises cernent mon coeur,
Son vent souffle mes pleurs
Et le chemin escarpé, là-haut,
Dans la tourmente emporte mes maux.

Avec les mouettes, mes soeurs,
Le ressac y bruisse en choeur.
Il couvre vagissements et sanglots
Ici règnent Adriano et Vero.

Profane Messages : 13 Date d'inscription : 30/07/2008

Laissez mourir un soupire
Qu'ainsi sur le centre de la figure
Puisse s'épanouïr un sourire
Qui sera toujours de bon augure

Laissez mourir la tristesse
Celle qui, de sa hantise
Vous a sombré dans l'ivresse
De cette douleur qui vous grise

Laissez naître à votre avantage
Tous les attraits d'un espoir révolu
Vous soufflant à l'oreille avec courage
Que rien de tout n'est tout à fait perdu

Laissez espérer votre âme enfantine
Que les rêves éteints s'éveilleront à la vie
Que ces maintes larmes cristallines
Arriveront à faire jaillir vos envies

Laissez l'avenir vous guider
Sur ses sentiers encore inconnus
Même lorsque la pluie ne cesse de tomber
Toujours de ce sourire vous serez pourvu

Artiste de qualité Messages : 101 Date d'inscription : 07/06/2008

Esmerine lit le poème laissé par sa filleule et éclate en sanglot…Anjelika est sans aucun doute son âme sœur…sa jumelle cosmique!!! Elle se reconnaît à travers elle et tremble de tant de similitude…Elle dit dans un murmure…merci ma belle! Et attaque un parchemin par automatisme, se libérant de sentiments malsains. Celà faisait bien longtemps qu'ellle n'avait pas écrit...

Ce sourire dont je suis pourvue
Transcende mon énorme détresse
Laissant croire que je suis parvenue
À oublier toute ma tristesse…

La douleur est une émotion
Qu’il faut vivre et excréter
L’Amour peut devenir poison
S’il est mal assimilé…

J’ai aimé à en perdre la raison
Et cette peur toujours me poursuit
Soufflant sans cesse son prénom
Elle me conduit vers la folie…

Oui j’arriverai à oublier
Que j’ai un jour eu envie
De m’oublier juste pour aimer
Sans pour autant y laisser ma vie…

Cette tristesse qui me ronge
Fera place à l’ivresse
Je l’ai vu hier en songe
L’ange de toutes les promesses…

Profane Messages : 13 Date d'inscription : 30/07/2008

Anjelika avait lu plusieurs fois le poème de sa douce marraine, elle essuya ses larmes du revers de la main, comprenant à peine pourquoi une âme si pure pouvait avoir autant de chagrin. Munit d'un sourire triste, elle prit la plume et laissa ses quelques mots sur le parchemin

Je vous vois, assise, sous ce grand peuplier
Lors des jours sombres de votre existence
Déversant vos larmes sur votre âme dévorée
Soupirant un désespoir, avec impatience

Détournez votre regard de cette dame d’argent
Celle qui place, tous ses amants, tel des diamants
Autour d’elle, tel une toile, d’un peintre céleste
Les effleurant à peine de son regard, sa tristesse

Mais les ténèbres, inéluctablement s’effacent
Et l’espoir, toujours, renaît de ses funestes cendres
Laissant une mélodie, une hymne prendre sa place
Au fond de votre cœur qui ne demande qu’à prendre

Tendez votre blanche main vers cette fleur à vos pieds
Respirez son parfum, entêtant, qui vous fera oublier
Combien le désespoir de ces instants est éphémère
Comme cette fleur que vous lancerez dans la mer…

Artiste de qualité Messages : 101 Date d'inscription : 07/06/2008

Esmerine, émue, lit le poème d'Anjelika. Un baume sur son cœur... À chaque fois, un mot clé lui déclenche l'envie d'écrire... Certes ils ne sont pas bien gais pour le moment, mais ils reflètent ses sentiments intérieurs...Elle qui a de la difficulté à extérioriser ses douleurs, voilà un bel exutoire que lui offre sa filleule…

Assise sous un peuplier
Je songe à mon passé
Amour et Passion se chevauchent
Douleur et Frayeur me débauchent…

Mon visage se crispe devant ces souvenirs
Balayant un court instant les moments de plaisirs
S’installe alors une lutte intérieure
Qui l’emportera? L’Espoir ou La Peur…

Puis en baissant les yeux j’aperçois
Une beauté intemporelle et lumineuse
Cette blanche fleure immaculée de Toi,
S’oppose à cette Dame vicieuse…

Je la regarde et la hume…
Doux parfum qu’est celui de la Vérité
Qui aurait pu dire qu’à travers cette brume
Ton soleil éclaircirait toutes mes pensées…

Assise sous un peuplier
Je me projette vers l’Avenir
Amour et Amitié vont se coupler
Dame tristesse et ses malheurs… Enfin ! Pourront partir

Profane Messages : 13 Date d'inscription : 30/07/2008

Anjelika avait lu et relu le poème de sa douce Esmérine, cette fois, ce n'était pas le chagrin que ses mots lui avaient inspiré... Bel et bien un doux et tendre espoir. Elle prit la plume encore une fois, tout sourire, cette fois, elle griffonna ses quelques lignes

Ce matin les papillons voltigeaient gaiement
Dans les champs, sous un radieux soleil
Tel de petites fées, aux couleurs vermeilles
En un ciel pur, aux attraits des plus invitant

Une envie de voler, de monter très haut
De les suivre dans cette danse féerique
Sentir cette délicieuse liberté sur ma peau
Tourner en rond, un cercle parfait, idyllique

Les yeux fermés, aspirant l’odeur de la lavande
Les bras étirés, courir, sauter, à en plus finir
Le visage soulevé vers les cieux tel une offrande
Se laisser tomber dans ce lit odorant, un soupire

D’or et déjà, ce doux jour que j’espère sans fin
Ne peut que laisser libre, mon être, mon cœur
Afin d’avoir, toujours, ce même espoir demain
Revoir mon âme dansant au-dessus des fleurs

Artiste de qualité Messages : 101 Date d'inscription : 07/06/2008

Esmerine se délectait du poème de sa filleule...Enfin grâce à elle, sa plume avait repris sa place et se penchait à nouveau sur le parchemin ...

LA NUIT

Quand le jour revêt son manteau gris
Et que les oiseaux taisent leurs cris cédant la parole aux cigales,
Penchée à ma fenêtre, j’écoute le chant de l’Oubli…

Dans sa robe argentée, Dame Lune sourit aux étoiles
Certaines scintillent tel des lucioles, d’autres filent vers la Voie Lactée
Perchée à ma fenêtre, j’observe ce spectacle Vitale…

Vers une lanterne troublante, un papillon de nuit vole, Leurré
Croyant être sur la route de son Destin,
Sur cette voie pourtant, ses ailes il a brulé…

Sur la balustrade, une ombre se dessine au loin
Avançant lentement, de plus en plus menaçante
Je me redresse affolée, apparaît sur mon visage un sourire en coin…

Celui que mon cœur espère projetait cette forme si effrayante
Il avait décidé par cette douce nuit d’insomnie,
De venir m’offrir un tendre baiser… Ho! Douceur enivrante…

Souvent trop courte, jamais trop longue près de lui
M’abandonnant dans les bras de Morphée
Je pus enfin rejoindre mes rêves dans cette nuit…

Esmerine

Amateur d'Art Messages : 84 Date d'inscription : 02/08/2008

comme promis, malgré le manque de temps
voici ces quelques vers
que je declame assez gentiment
pendant que ma femme en grognant
reorganise le frigidaire !

a bientot

Profane Messages : 13 Date d'inscription : 30/07/2008

Anjelika trouvait que décidément sa chère Esmérine n'était jamais à court de mots... Magnifique! Magnifique!

Par contre, elle leva un sourcil sur le poème de messire Roland... Persuadée que... c'était visiblement un manque de temps! Avec un sourire, elle prit sa plume fétiche et la laissa s'exprimer sur le parchemin

La tzigane

Le jour se lève lentement sur ma vie
Tel une brise, un souffle, un soupir
La nuit s'évapore à mon ennui
Laissant place à un simple sourire

Ne serait-ce que la lune s'éteint
Où que mon âme se glisse lentement
Vers les rêves, vers l'ardeur des chemins
Ou vers un songe, un amour attendrissant

La nomade entend le souffle du vent
Celui qui du sud souffle à mon oreille
L'aventure, les plaisirs, les moments
Des paysages aux couleurs vermeilles

Le jour se lève lentement sur mes nuits
Tel un voile qui s'évapore, tel une plume
Le rêve s'éclaire aux retours de mes envies
Laissant s'éclipser de mes yeux la brume

Admin Messages : 41 Date d'inscription : 28/02/2008 Age : 43

Altina arrive, un air désabusé au visage, le coeur serré et dépose çà:

A toi…

Lors d’une nuit passionnée
Tu as su m’envoûter.

Le souffle court
L’éternel en bruit sourd,
Les mains sures
On ne parlait pas futur.

Les corps entrelacés,
On savait juste s’aimer.

Où en sommes-nous ?

La peau encensée,
Les reins courbés,
Nos langues se déliaient,
Nos murs se réchauffaient.

Puis on se séparait,
Nos sanglots se nouaient,
Nos larmes coulaient.

Quand je me perdais,
Ton cœur me retrouvait,
Tes gestes me rassuraient.

Où en sommes-nous ?

Chaque nuit,
Je vois la douleur
Te torturer, impuissante.

Le courage enfoui,
Toujours à contre cœur
L’obstination est parfois indécente.

Je vis pour toi,
Je respire avec toi,
Je te touche du bout de mon âme,
Là où tournoient les flammes.

Où en sommes-nous ?

L’amour peut tout déchirer,
Tes entrailles, ta fierté.

Une pluie torrentielle
De mots tombés du ciel,
Un assemblage de toutes pièces,
Mais celles-ci disparaissent.

Le puzzle resterait-il inachevé,
Sur nos pensées esseulées ?

Où en sommes-nous?

Sur le Chemin
"Demain",
Tu ne seras sans doute pas.
Comment croiserions-nous nos pas?
J'ai perdu déjà la mémoire
De cet avenir sans histoire.
Et cet hier ne sera jamais
Un passé à se dire:"Mais,
Où avais-je le coeur, alors?"

Toi et moi, nous sommes des morts
En désaccord
D'inexistence;
La patience
N'est pas mon fort
(Sauf intérieur, mais ignoré:
Je vis dans un désert glacé).

Artiste de qualité Messages : 101 Date d'inscription : 07/06/2008

Esmerine arrive faire ses adieux...Visiblement elle n'a pas choisie le bon moment...Y en a t-il un?

Je n’ai pas su vous le dire
Je saurai peut-être l’écrire...

Au fond de moi je garde gravé
À l’abri dans un coin de mon cœur
Vos visages au couleur de l’Amitié…

Je n’oublierai jamais ce que vous m’avez apporté
Espérant vous revoir au tournant d’une vie
J’ai aimé chacun d’entrevous avec sincérité…

La saveur de vos personnalités
Je m’en suis délectée avec passion
M’imprégnant du souffle de vos pensées…

Gardez toujours à l’esprit mon nom
Celui de l’Amie que toujours je serai
Peu importe toute ces raisons…

C’est le cœur gros mais le pas léger que je quitte
Ce doux monde ou ce côtoie Vérité et Dérision
Laissant derrière moi un souvenir mythique…

Esmerine s’en est allé pleine d’Émotions
Mais n’a pas laissé de larmes perlées
Sur des souvenirs qui se veulent les bons…

Amour, Amitié, Sincérité et Vérité…

Esmerine

Admin Messages : 41 Date d'inscription : 28/02/2008 Age : 43

Esmerine!!! pourquoi?????

Amateur d'Art Messages : 84 Date d'inscription : 02/08/2008

...pas mieux.

Profane Messages : 13 Date d'inscription : 30/07/2008

je suis sous le choc...

C'est le coeur lourd que je lui fais mes adieux
En espérant que...
Non, espérance n'est pas devant cet avoeux

Un doux souvenir que je sauvegarderai
En espérant que...
Un retour sur ses néfastes pensées

J'ai du mal à imaginer que je la verrai plus
En espérant que...
Comme par magie, ce départ n'est plus

Bon, Esmerine! Nous en discuterons ce soir! Il me semble que tu vis ce que j'ai vécu il y a quelques mois!
RDV dans la taverne de l'Yrikar, vers disons 22HOO...

A tantôt!

Béotien Messages : 9 Date d'inscription : 28/06/2008

Les larmes aux yeux, Joris fit ses adieux à Esmerine...

"Bon voyage vers les cieux, tu me manquera énormément, je t'aime..."

Béotien Messages : 7 Date d'inscription : 22/06/2008

ame en peine

Paroxysme fatal d'un stupide désir
de tes mots j'en avais fais mon empire
viens voir mon coeur comme il saigne
viens voir mon âme et sa peine.

je te désire comme un amour qui fuit
j'ai besoin de toi jusqu'a en mourir
j'en ai mal de le dire.

tu m'as laisé la au milieu de nulle part .
j'ai l'âme en peine perdu dans le brouillard.

Pour un visage dont je ne verrai plus le regard
pour un sourire qui perce comme un poignard
pour des mots pour d'autres promesses.

Qu'as tu fais de ma vie petit Ange
tu devais me protéger des maux qui dérangent
que reste t'il de tout ce temps
des cicatrices ouvertes comme des offrandes.

tu m'as laissé la au milieu de nul part
j'ai l'âme en peine perdu dans le brouillard.

j'aurai beau tutoyer d'autres anges
toi seule sais les mots pour me faire rêver
de cet amour j'en avais fait mon armure
un bouclier d'or protégeant mes blessures.

Déploie tes ailes et veille sur d'autre âmes
mais ne te retourne pas pour voir mes larmes
Garde en souvenir de nous ce poème
et n'oublie jamais que je t'aime.

Perdu dans le brouillard je cherche ton regard
je suis la au milieu la immobile
j'attend au milieu de nul part.
car je t'aime toujours.
je vous offre ce dernier sacrifice silencieux
Flamme

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